La balade des gens heureux.
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Les jours passent, une semaine depuis notre depart, et nos decouvertes se multiplient. Samedi, le 12, nous jouons les touristes en nous rendons dans LE musée que tout le monde va voir sans pour autant se soucier du contenu. Des touristes a la pelle. Et pourtant! Un musée difficile a comprendre dans son fond -si on ne se contente pas de jute lire les temoignages et images (il manque un historique tres claire et surtout un "pourquoi du comment"... nous aurions aimé des éclairssissements sociaux/politiques... prochainement nous nous rendrons au musée de la RDA)-, j'ai nommé, le Mauermuseum. Le musée du mur, vous l'aurez compris. Dans l'ensemble, la visite nous a plu ; nous avons surtout apprecié la partie relatant les inventions originales dont ont fait preuve de nombreuses personnes afin de passer du cote ouest. Exemple : une fille cachée dans deux valises contigües, des traveaux de titants pour creuser des tunnels, créer une mongolifere ou pour inventer un moteur sous-marin. La fin de la visite s'avere moins plaisante, la sueur nous noyant, et le shop nous acheve. Pour 25.-, un bout de mur grand comme trois noix, 20.-, grand comme deux noix, 15.- un immonde pendentif flachi auquel est collé -avec de la colle blanche- un minuscule bout de mur... pathétique.
Dans un tout autre registre, nous goutons, le dimanche 13 juillet au plaisir du patelin du coin, c'est a dire, du marcher aux puces, des trucs pas chers, c'est super ; on est heureux, c'est merveilleux ; on veut encore, ô mi amor;... (merci Corny). Pour etre plus explicite, le routard nous a vivement conseillé un marché aux puces situé a une rue de notre hotel sur la Bernauer strasse ou le mur autrefois obscurissait le ciel (merci Corny bis). Et la, on regrette. On regrette de s'etre achetées des livres -chers- dans une librairie. On regrette tout cela, toutes nos dépenses inconsidérées en Kebabs, pizza, steak, parce que ce marché aux puces est une petite merveille. Une mine d'or. L'une comme l'autre en resortant en trainant des sacs mit beiden Händen ; le week-end prochain, c'est decidé, nous y serons des l'ouverture! Et si il nous manque des tunes, on se prostitura resortira toutes les chansons de notre repertoire de varitété francaise toute en tapant sur des concerves avec des brosses a dents : succes garanti!
petit bout de la robe achetée, aux puces, par Hélene
La veille de notre depart, le 13 au soir, pour un hotel de Friedrischein, nous flanons dans les environs plus ou moins éloignés de notre "boom-caire" et achevons notre parcourt sur... la Alexander Plaz (nous sommes a chaque fois étonnées de retrouver aussi facilement notre chemin ; voici la force de Lorraine et Hélene en balade). En chemin, nous nous retrouvons au bord de la Spree, apres avoir traversé la fameuse Ile aux musées, et contemplant dans un silence religieux le Berlinerdom. Nous pénétrons également, en chemin, dans des vieilles cours et vieilles maisons utilisées comme galeries d'"art" ou comme petits cinéma pour bobo (il passait Hair!). Maman, tu adorais. (je rigoooooole).
Le 14 au matin, nous déménageons et vous connaissez la suite du comment de notre nouvel "hotel" et de nos voisins et voisines de chambre. Comme d'habitude, nous flanons dans notre quartier, y découvrons les lieux indispensables, a savoir : un cybercafé, un super-marché et des vendeurs de kebab a deux euros. On trouve bien rapidement des dizaines de magasin de seconde main, mais les prix sont assez élevés par rapport au marché aux puces. Les jours suivants : glandage. C'est fait pour cela les vacances. Prise de nostalgie quand a notre ancien hotel, nous nous y rendons, le 15 au matin, pour utiliser la connexion internet gratuite! Ni vu ni connu, nous pondons un article ; puis, interpelée par un panneau "gnagnagna mauer", nous suivons sa direction. (dans la Bernauer Strasse a une station U8 de la station Volta Strasse qui se situait en face de notre ancien hotel). Beaucoup de batiment semblent... coupé ; tres courant a Berlin, nous semble-t-il. A coté, du pré... en plein centre ville. On se dit "c'est pas normal... le mur etait sans doute la!". Et on marche, on marche, on marche... jusqu'a un amas de touristes amassé entre leur car a touriste et des panneaux retrassant je ne sais trop quoi sur le mur (allemand et anglais + trop de monde = on n'a pas lu!). Oui, on a le chic pour trouver les trucs touristiques involontairement (souvenons nous du Berlinerdom et compagnie...), super... Bref. Apres quelque pas et des "pourquoi ils regardent tous la-bas???", on trouve un bout de mur. Chouette ; photo touristique pour l'occasion.
Peco